Coopération jeunesse
La jeunesse est notre public cible depuis notre création. Nos actions à l’international sont historiquement dirigées vers les jeunes et nées de nos liens étroits avec nos partenaires au Liban, en Tunisie, en France et au Sénégal. Nous accompagnons chaque année des groupes de jeunes portant un projet qui s’intègre aux programmes processméditerranée et processafrique.
Organisation d’événements
Chaque année, nous organisons des événements, en appui à des groupes de jeunes accompagnés, ou directement avec nos partenaires. Ces événements peuvent prendre différentes formes (projections/débats, vernissages et expositions, colloques…) et se tiennent dans des lieux variés (lieux culturels, établissements d’enseignement supérieur partenaires…), en France mais aussi parfois en Tunisie et au Liban.
Nous nous appuyons en particulier sur deux types de contenu :
- Les vidéos ou photographies produites dans le cadre des projets réalisés sur le terrain avec les jeunes et nos partenaires (association Movmed, réalisateurs Théo Petrignet et Clément Marchand)
- Les productions de notre partenaire le Réseau Euromed France avec “les Cahiers du REF”.
Organisation d’événements
Chaque année, nous organisons des événements, en appui à des groupes de jeunes accompagnés, ou directement avec nos partenaires. Ces événements peuvent prendre différentes formes (projections/débats, vernissages et expositions, colloques…) et se tiennent dans des lieux variés (lieux culturels, établissements d’enseignement supérieur partenaires…), en France mais aussi parfois en Tunisie et au Liban.
Nous nous appuyons en particulier sur deux types de contenu :
- Les vidéos ou photographies produites dans le cadre des projets réalisés sur le terrain avec les jeunes et nos partenaires (association Movmed, réalisateurs Théo Petrignet et Clément Marchand)
- Les productions de notre partenaire le Réseau Euromed France avec “les Cahiers du REF”.
Quelques exemples
Nous avons organisé, avec l’iReMMO-sud (Marseille) et notre partenaire l’association Movmed un débat, intitulé « Liban, trois ans après la thawra : état des lieux » dans le café Asabiya. A cette occasion, nous avons présenté avec Eléonore de Bonneval et Sabine Bécard (Movmed) l’exposition photographique « Mouneh et Zaatar » produite en septembre 2021 au Liban. Celle-ci porte sur les conséquences sur le quotidien des Libanais (notamment leurs pratiques alimentaires) de la profonde crise économique, sociale et politique qui touche le pays depuis 2019. Etaient présents pour animer le débat : Ziad Majed, politiste franco-libanais, professeur et directeur du programme des études du Moyen-Orient à l’Université américaine de Paris (AUP) et Marwan Chahine, journaliste indépendant libanais. L’exposition est quant à elle restée au café pendant plusieurs semaines. Cet événement a été financé par le dispositif FAIR du Réseau Euromed France (REF). Il a rassemblé une cinquantaine de personnes.
Pour ce projet, nous avons collaboré avec des étudiants en 4ème année à Sciences Po Lyon et le Réseau Euromed France (REF). Les étudiants ont construit leur événement à partir d’une production du REF, le Cahier du REF intitulé « Résistances palestiniennes ». Ce-dernier, finalisé avant mais paru après le 7 octobre 2024, traite de différents sujets touchant les Palestiniens et présente des initiatives de la société civile palestinienne.
L’événement s’est déroulé le 2 mai au Flâneur Guesthouse à Lyon. Les étudiants ont animé des échanges avec des chercheurs, des acteurs de la société civile en France et des jeunes palestiniens. En parallèle, un contenu culturel a été proposé au public, avec par exemple une exposition photographique. Les objectifs étaient multiples :
1/ Présenter, au-delà des chiffres et des statistiques, ce que signifie vivre en Palestine ou venir de Palestine aujourd’hui et donner la voie à aux premiers concernés, une jeune palestinienne de Gaza et un jeune palestinien de Cisjordanie.
2/ Offrir un espace de parole privilégié pour aborder avec complexité la question palestinienne, dans un contexte où son traitement dans l’espace public et médiatique s’avère globalement très insuffisant et préoccupant.
Quelques exemples
Nous avons organisé, avec l’iReMMO-sud (Marseille) et notre partenaire l’association Movmed un débat, intitulé « Liban, trois ans après la thawra : état des lieux » dans le café Asabiya. A cette occasion, nous avons présenté avec Eléonore de Bonneval et Sabine Bécard (Movmed) l’exposition photographique « Mouneh et Zaatar » produite en septembre 2021 au Liban. Celle-ci porte sur les conséquences sur le quotidien des Libanais (notamment leurs pratiques alimentaires) de la profonde crise économique, sociale et politique qui touche le pays depuis 2019. Etaient présents pour animer le débat : Ziad Majed, politiste franco-libanais, professeur et directeur du programme des études du Moyen-Orient à l’Université américaine de Paris (AUP) et Marwan Chahine, journaliste indépendant libanais. L’exposition est quant à elle restée au café pendant plusieurs semaines. Cet événement a été financé par le dispositif FAIR du Réseau Euromed France (REF). Il a rassemblé une cinquantaine de personnes.
Pour ce projet, nous avons collaboré avec des étudiants en 4ème année à Sciences Po Lyon et le Réseau Euromed France (REF). Les étudiants ont construit leur événement à partir d’une production du REF, le Cahier du REF intitulé « Résistances palestiniennes ». Ce-dernier, finalisé avant mais paru après le 7 octobre 2024, traite de différents sujets touchant les Palestiniens et présente des initiatives de la société civile palestinienne.
L’événement s’est déroulé le 2 mai au Flâneur Guesthouse à Lyon. Les étudiants ont animé des échanges avec des chercheurs, des acteurs de la société civile en France et des jeunes palestiniens. En parallèle, un contenu culturel a été proposé au public, avec par exemple une exposition photographique. Les objectifs étaient multiples :
1/ Présenter, au-delà des chiffres et des statistiques, ce que signifie vivre en Palestine ou venir de Palestine aujourd’hui et donner la voie à aux premiers concernés, une jeune palestinienne de Gaza et un jeune palestinien de Cisjordanie.
2/ Offrir un espace de parole privilégié pour aborder avec complexité la question palestinienne, dans un contexte où son traitement dans l’espace public et médiatique s’avère globalement très insuffisant et préoccupant.
Communauté processmed & processafrique
Il nous tient à cœur que la durabilité de ces programmes permette de développer et nourrir un réseau composé de jeunes, d’étudiants et de professionnels. Depuis 2015, ce sont plus de 350 jeunes qui ont participé aux programmes, dont une partie significative d’entre eux qui travaillent aujourd’hui dans la coopération internationale et le développement. Certains restent proches d’arcencielfrance et ont rejoint son CA, et sont toujours heureux d’aider nos étudiants à trouver des stages, des postes, à les conseiller ou à participer à nos actions.
Pour nous rencontrer et maintenir le lien, nous organisons chaque année un week-end France, dans les locaux de notre partenaire l’Institut de Tramayes en Saône-et-Loire, afin de faire vivre cette communauté et de faire se rencontrer nouveaux et anciens participants.
En 2023, le week-end France a réuni plus de 60 jeunes ayant participé aux programmes processméditerranée et processafrique. Le WE s’est tenu dans les locaux de l’Institut de Tramayes, partenaire étroit d’arcencielfrance en Saône-et-Loire. La première journée s’est articulée autour d’une activité de maraîchage pour découvrir le lieu et faire connaissance et d’ateliers de mise en situation préparés et animés par les anciennes/anciens : pitch de projet devant des bailleurs de fonds, gestion de conflits et de situations de crise. La soirée a été animée par une activité collective de préparation de pizzas cuites dans un four à pain traditionnel, puis par un repas festif. La matinée du dimanche fut consacrée à des temps d’échanges axés sur les projets en cours entre anciens et nouveaux et au partage des retours sur le weekend avec notre équipe pour appréhender les prochaines étapes pour chaque groupe.
Communauté processmed & processafrique
Il nous tient à cœur que la durabilité de ces programmes permette de développer et nourrir un réseau composé de jeunes, d’étudiants et de professionnels. Depuis 2015, ce sont plus de 350 jeunes qui ont participé aux programmes, dont une partie significative d’entre eux qui travaillent aujourd’hui dans la coopération internationale et le développement. Certains restent proches d’arcencielfrance et ont rejoint son CA, et sont toujours heureux d’aider nos étudiants à trouver des stages, des postes, à les conseiller ou à participer à nos actions.
Pour nous rencontrer et maintenir le lien, nous organisons chaque année un week-end France, dans les locaux de notre partenaire l’Institut de Tramayes en Saône-et-Loire, afin de faire vivre cette communauté et de faire se rencontrer nouveaux et anciens participants.
En 2023, le week-end France a réuni plus de 60 jeunes ayant participé aux programmes processméditerranée et processafrique. Le WE s’est tenu dans les locaux de l’Institut de Tramayes, partenaire étroit d’arcencielfrance en Saône-et-Loire. La première journée s’est articulée autour d’une activité de maraîchage pour découvrir le lieu et faire connaissance et d’ateliers de mise en situation préparés et animés par les anciennes/anciens : pitch de projet devant des bailleurs de fonds, gestion de conflits et de situations de crise. La soirée a été animée par une activité collective de préparation de pizzas cuites dans un four à pain traditionnel, puis par un repas festif. La matinée du dimanche fut consacrée à des temps d’échanges axés sur les projets en cours entre anciens et nouveaux et au partage des retours sur le weekend avec notre équipe pour appréhender les prochaines étapes pour chaque groupe.
Notre expérience en Tunisie et le partenariat solide que nous avons avec Shanti nous ont permis de concevoir en 2024 une nouvelle version du programme processméditerranée à destination des jeunes de notre programme Biodiver’cité.
Issus de quartiers populaires et éloignés de la formation, ces jeunes n’ont pas, ou très rarement, accès à la mobilité à l’international.
L’objectif est ainsi de leur permettre de vivre une expérience interculturelle complète et faisant écho avec le parcours d’accompagnement qu’ils suivent en France avec Biodiver’Cité : découverte et pratique de métiers agricoles et artisanaux et visites de terrain, initiation à la gestion de projet.
Le séjour se déroule dans la ville oasis de Nefta (sud-ouest tunisien) où Shanti travaille sur les thématiques de l’agriculture, de l’artisanat, de la culture et du tourisme durable.
L’opportunité de vivre une expérience à l’étranger, très courante voire systématique chez les jeunes de milieux plus aisés, joue un rôle important tant dans l’enrichissement personnel que dans l’élaboration de son parcours professionnel. Il nous apparaît clé de permettre aux jeunes de Biodiver’Cité d’accéder eux aussi à ce type d’expérience.
Séjour en Tunisie
d’un groupe de jeunes éloignés de la formation et de la mobilité internationale
Notre expérience en Tunisie et le partenariat solide que nous avons avec Shanti nous ont permis de concevoir en 2024 une nouvelle version du programme processméditerranée à destination des jeunes de notre programme Biodiver’cité.
Issus de quartiers populaires et éloignés de la formation, ces jeunes n’ont pas, ou très rarement, accès à la mobilité à l’international.
L’objectif est ainsi de leur permettre de vivre une expérience interculturelle complète et faisant écho avec le parcours d’accompagnement qu’ils suivent en France avec Biodiver’Cité : découverte et pratique de métiers agricoles et artisanaux et visites de terrain, initiation à la gestion de projet.
Le séjour se déroule dans la ville oasis de Nefta (sud-ouest tunisien) où Shanti travaille sur les thématiques de l’agriculture, de l’artisanat, de la culture et du tourisme durable.
L’opportunité de vivre une expérience à l’étranger, très courante voire systématique chez les jeunes de milieux plus aisés, joue un rôle important tant dans l’enrichissement personnel que dans l’élaboration de son parcours professionnel. Il nous apparaît clé de permettre aux jeunes de Biodiver’Cité d’accéder eux aussi à ce type d’expérience.